Pour commencer cet article, j’aimerais présenter l’auto-édition. Vous savez pourquoi ? Quand je regarde sur des sites internet, je vois très souvent que l’auto-édition, c’est le dernier “mode d’édition” d’un auteur. Mais Miss qu’est ce que tu veux dire par ici ? Et bien oui il est encore ancré que l’auto-édition, c’est la voie à choisir quand on ne trouve pas d’éditeur, mais que l’on rêve d’avoir un format papier.
Je suis désolée de vous dire que cela faux !
Alors dans le fond, c’est quoi l’auto-édition ?
C’est un mode d’édition à part entière ou l’auteur gère son livre de A à Z. De la fabrication à la commercialisation en passant par l’édition, la communication… Sacrée casquette non ?
Grâce à ce mode d’édition, l’auteur ne se fait pas “escroquer” sur les droits d’auteur. Par exemple sur Amazon, il touche environ 70 % de ses DA contre 10 % dans l’édition. C’est assez flexible, on y trouve beaucoup de contenu. Personnellement, mon petit doigt me dit que grâce à l’auto-édition, la porte du genre : science-fiction est beaucoup plus ouverte.
Pourquoi se tourner vers l’auto-édition ?
- Parce que l’on croit en son œuvre et que l’on ne souhaite pas qu’un éditeur la dénature. Une plume c’est sacrée (slogan du jour, bonjour)
- Parce que l’on ne souhaite pas attendre des réponses d’éditeurs
- Parce que notre livre est refusé chez certains éditeurs
Quoi qu’il arrive, on part d’une seule et même chose : croire en nous. Et c’est important de le clamer haut et fort. Faire entendre nos voix pour un mode d’édition qui ressemble à chacun de nous, car oui chaque auteur et différent et surtout, il a sa manière de procéder.
Pour beaucoup, l’auto-édition est considérée comme : “une idée d’amateurisme et de petit budget.”
Définition amateurisme : caractère d’un travail amateur.
Mais quand on apprend à gérer autant de casquette seul et que parfois, on réalise de meilleure performance qu’un éditeur est ce toujours de l’amateurisme ? N’est ce pas juste un terme des éditeurs pour avouer qu’ils ont peur de l’ampleur que prend l’auto-édition ?
Je vous laisse réfléchir à cette question, on se retrouve, la semaine, prochaine pour en discuter.
`